La NBA, c’est une histoire de sport, mais c’est aussi une histoire d’argent : entre les salaires des joueurs, les contrats de sponsoring et le merchandising, le basket peut rapporter beaucoup. On peut également gagner de l’argent avec le ballon orange même si on n’a jamais mis un pied sur le terrain : la preuve avec le parcours fantastique de Haralabos Voulgaris, un parieur canadien fan de basket.

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Les leçons à tirer de l’expérience du meilleur parieur sur la NBA du Canada

Haralabos “Bob” Voulgaris est aujourd’hui considéré comme un des meilleurs parieurs du monde. Il a gagné des millions en misant sur les matchs de la NBA, mis au point une technique révolutionnaire, et a même travaillé un temps comme consultant auprès d’une grande équipe.

Le premier enseignement que l’on peut tirer de Voulgaris, c’est que les jeux sportifs, cela s’apprend, et que c’est beaucoup de travail. Le Canadien d’origine grecque est tombé dans le milieu des jeux d’argent très jeune : à l’âge de 18 ans, il a passé deux mois à Las Vegas avec son père, un riche homme d’affaires. Comme il était trop jeune pour miser de l’argent, Haralabos a observé son père, fan de courses de chevaux et de poker, sans manquer une miette des conversations chez les bookmakers.

De retour au Canada, après avoir étudié et observé le monde du basket nord-américain pendant des années, Voulgaris tente le tout pour le tout en 2000 : il mise toutes ses économies, soit 70 000 dollars, sur la victoire des Lakers au championnat de la NBA.

Un pari gagnant

C’était risqué, l’équipe californienne n’ayant pas brillé l’année précédente, mais Voulgaris a vu juste : il gagne 500 000 dollars. Durant les années qui suivent, il met en jeu des sommes énormes, pariant parfois 1 million de dollars sur un match. Le secret de son succès, c’était son travail et son sérieux : il ne manquait pas un match, prenait des notes sur tout, allant même jusqu’à devenir un spécialiste des stratégies utilisées par trois célèbres entraineurs.

L’autre secret du Canadien est encore plus ingénieux : en examinant les sites des bookmakers, il s’est aperçu qu’il y avait une faille dans un type de mise : le « score à la mi-temps ». Pour ce jeu là, les bookmakers divisaient tout simplement le score estimé du match en deux, en se basant sur le fait que 50 % des points sont marqués pendant la première mi-temps, et 50 % dans la seconde mi-temps.

En réalité, à cause des prolongations et des arrêts de jeu, la majorité des points est marquée dans la deuxième partie du match : les cotes proposées par les bookmakers ne reflétaient donc pas la réalité de la NBA. Même si les sites de cotes en ligne ont fait bien des progrès depuis, il est toujours possible de chercher de petites failles, notamment dans les directs, quand les cotes ne sont pas mises à jour à temps. Parier sur la NBA pour les Canadien est vraiment devenu un jeu d’enfant aujourd’hui, et en toute sécurité. D’ailleurs depuis maintenant quelques années il est vraiment très facile de trouver toutes sortes de cotes pour tous les niveaux de joueurs.

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Un ballon qui apporte tant d’émotions

Toujours rester concentré

Après une période faste, Voulgaris connait les vaches maigres. En 2004, il perd beaucoup d’argent, les bookmakers s’étant aperçus que les paris sur le score à la mi-temps les désavantageaient. Au lieu de flamber toute sa fortune, Voulgaris décide de se réinventer. Il étudie les statistiques et met au point, avec l’aide d’un petit génie des mathématiques, un programme capable de prédire les résultats, qui ressemble aux logiciels utilisés par les courtiers de Wall Street.

Pour mettre en œuvre sa nouvelle approche, Voulgaris doit gérer sa bankroll d’une façon complètement différente. Au lieu de miser une grosse somme une fois par jour, il fait des milliers de paris sportifs, en mettant des sommes plus modestes en jeu. Cela fonctionne, même s’il n’arrivera plus à gagner autant que pendant ses premières années de parieur.

Même si tout le monde n’est pas aussi brillant que Haralabos “Bob” Voulgaris, le parcours du Canadien montre qu’on peut gagner de l’argent si on fait preuve de persévérance et de sérieux… et si on n’a pas peur de se remettre en question ! Parier sur la NBA depuis le Canada et Québec implique de toujours se remettre en questions et s’informer des dernières nouvelles. Pariersport.ca ne cessera de vous répéter ce mantra. En quelques clics sur une recherche Google on peut tout trouver aujourd’hui.