Il était normal pour la capitale des États-Unis d’avoir une équipe de hockey en LNH. Malheureusement, tout ne s’est jamais déroulé comme prévu avec cette équipe, qui a mis du temps pour obtenir de bons résultats. Mais avec un lieu comme Washington, il était évident qu’un jour ou l’autre elle parvienne à devenir un concurrent sérieux en ligue nationale de hockey.

 

Des débuts difficiles, puis du mieux pour une équipe sérieuse

Tout d’abord, il est à noter que les observateurs avaient été surpris à l’époque que Washington obtienne une franchise en ligue nationale de hockey. En effet, la ville n’avait pas été une place forte de ce sport, et les conditions pour rentrer dans la ligue fermée ont toujours été très strictes.

Le début de l’histoire ne fut pas fameux

C’est donc finalement, après de longues années de tractations, que l’équipe entra dans la LNH lors de l’année 1974. Ce fut la même année que Kansas City.

Et bien cette fois-ci, pas de miracles. Le bilan de cette première année fut désastreux avec une fiche de 8-67-5. C’est tout simplement un record pour le faible nombre de victoires. Un bien triste titre qui n’allait pas manquer de suivre l’équipe lors de ses jeunes années. D’ailleurs, il est aussi à noter que l’équipe encaissa la bagatelle de 446 buts sur la saison ! L’équipe aussi connu un match où elle en encaissa 10.

Un grand meneur allait diriger l’équipe

Bien qu’il ne fût pas le premier choix au repêchage de 1979, Mike Gartner allait devenir la pièce maitresse de l’équipe à cette époque. Les statistiques sont implacables : Mike marqua plus de 35 buts lors de toutes ses saisons avec les Capitals. C’était le joueur qui allait le plus jouer avec la franchise et devenir une vraie icône de l’équipe.

Une lente évolution

Malgré ces résultats moyens voir mauvais, l’équipe finit par connaître plus de succès lors de sa 8^ème saison, avec une qualification bien méritée en phase éliminatoire.

Il est à noter que cette année l’équipe parvint à dégotter le joueur des Canadiens Rod Langway. Ce joueur était excellent en défense, et permit sans doute une meilleure aussi de l’équipe. D’ailleurs, dans toutes les équipes où celui-ci a joué, il est à noter que l’équipe se qualifia pour les phases finales de la ligue nationale de hockey. Un vrai porte bonheur ! Il fut de plus de récompensé par le trophée Norris en 1983 et 1984. Il est toujours sympa pour les paris sportifs de parier sur ce genre de statistiques car les cotes sont généralement excellentes. Parier sur les Capitals de Washington c’est faire le choix de jouer sur une grande équipe avec des moyens. Beaucoup de grands joueurs y sont passés et y passeront sans doute. Il est donc important de comprendre qu’il y aura des coups à faire sur certaines cotes de court terme comme le nombre de points par matchs. Il sera donc important de bien rester informés et de prendre le temps pour ces recherches.

Le saviez-vous?

• Ovechkin, dont nous allons parler plus tard, aimait s’assoir à l’opposé de ses coéquipiers sur le banc. Selon lui, cela lui permettait de se concentrer et de mieux voir le jeu.
• En 2018 l’équipe a remporté sa premiere coupe Stanley! L’attente fut donc bien longue pour tous les fans et on peut dire que tout le monde fut rassuré.
• Le cri de ralliement de l’équipe lors des matchs a domicile est « unleash the fury ». Cela motive les joueurs et les spectateurs. Parier sur les Capitals de Washington a ce moment là est toujours un plaisir. C’est une tradition qui a sans doutes amené beaucoup de victoires.

Le grand Alex Ovechkin

Lors des années 2000, Ovechkin fut sans doute la plus grande recrue de l’équipe. Celui-ci fut d’ailleurs le 6^èmejoueur à atteindre la barre des 400 buts. Celui-ci remporta d’ailleurs lors de son arrivée le trophée Calder de meilleure recrue de l’année. Une distinction qui récompense autant la recrue que le club. Une belle marque de reconnaissance. D’ailleurs, la suite de sa carrière allait être marquée par d’autre trophées (Calder, Art-Ross, …) qui firent de lui un si c’est n’est le joueur phare de l’histoire de l’équipe. Les années de sa présence furent d’ailleurs de bonnes années pour les Capitals de Washington.